1. |
LES MOTS
03:02
|
|||
Encore un mot
Plus que haut que l’autre
Tout le monde entend que cette dispute c’est la notre
J’ai du mal à croire
Que t’es devenu myope
Quand hier soir
Tu m’as traitée d’salope
Fais attention tu m’as laissé le choix des armes
Les mots sont forts les mots sont des pistolets chargés
Fais attention à chaque syllabe dans tout c’vacarme
Je les choisis précisément avec amour et cruauté
Fais attention je n’ai qu’un but, c’est voir une larme
Avant d’finir par m’excuser
Les mots sont les balles les plus lâches
Toujours cachées par des idées
Les mots sont des maux qui s’cachent
Par des excuses de dégonflés
Les mots sont des salauds
Ils blessent et tuent jamais solo
Les mots sont des chacals
Dont le combo est souvent fatal
Fais attention tu m’as laissé le choix des armes
Les mots sont forts les mots sont des pistolets chargés
Fais attention à chaque syllabe dans tout c’vacarme
Je les choisis précisément avec amour et cruauté
Avec amour et cruauté c’est comme ça que j’use de mon charme
Et c’est comme ça que je finis par toujours résister
Fais attention je n’ai qu’un but, c’est voir une larme
Avant de finir par m’excuser
Les mots sont les balles les plus lâches
Toujours cachées par des idées
Les mots sont des maux qui se cachent
Par des excuses de dégonflés
Les mots sont des salauds
Ils blessent et tuent jamais solo
Les mots sont des chacals
Dont le combo est souvent fatal
Les mots sont des salauds
Ils blessent et tuent jamais solo
Les mots sont des chacals
Dont le combo est souvent fatal
Comment être sure que j’ai assez de munition
Est-ce qu’il m’en reste, cette dispute c’est la centième
Pas ok pour que nous nous abattions
C’est aussi avec cette arme qu’on s’dit je t’aime
Les mots sont des balles les plus dégueulasses
Souvent dénuées de vérité
Les mots sont des maux qui me fâchent
Aucune excuse Ă condamner
Les mots sont des salauds x4
|
||||
2. |
RANGE-TOI
03:21
|
|||
Aux abords du grand soleil
T’as souvent vu toutes ces merveilles
Aux abords du grand soleil
T’as failli te bruler les ailes.
Sans limite
Tu crois que t’es une bombe mais t’es une météorite
Sans conscience
Tu te sers de la liberté pour masquer ton insolence
Sans patron
Tu crois que t’es libre mais t’es toujours aussi con
Regagne ta place joue pas au grand
Laisse parler les gens consistants
Travaille un peu et reviens quand tu seras vieillissant
Oublie tes rĂŞves ils sont trop grands
Laisse les passer en t’inclinant
Endure un peu et reviens quand tu seras moins pédant
Sèche tes larmes sois un battant
La vie n’attend jamais les gens
On sera fier de toi quand tu seras vraiment résistant
Allez petit t’as rien compris À 25 ans t’es abruti
Tu vois c’est tous tes rêves qui t’ont anéanti…
Allez
Un p’tit effort
Range toi
Pour moi pour ta mère et pour toi
Allez
Un p’tit effort
Fais ça
Pour moi pour ta mère et pour toi
Regagne ta place joue pas au grand
Laisse parler les gens consistants
Travaille un peu et reviens quand tu seras vieillissant
Oublie tes rĂŞves ils sont trop grands
Laisse les passer en t’inclinant
Endure un peu et reviens quand tu seras moins pédant
Sèche tes larmes sois un battant
La vie n’attend jamais les gens
On sera fier de toi quand tu seras vraiment résistant
Allonge toi sur ce vieux divan
Voilà deux trois médicaments
Tu vois on peut faire que tous les rêves s’oublient en dormant
Sans limite
Tu crois que t’es une bombe mais t’es une météorite
Sans conscience
Tu te sers de la liberté pour masquer ton insolence
Sans patron
Tu crois que t’es libre mais t’es toujours aussi con
|
||||
3. |
PRÉFACE
03:41
|
|||
Mon sol est jonché de feuilles mortes
J’aimerais un truc qui me réconforte
Cette fois pas besoin que l’on me porte
C’est comme ça que je m’appartiens
C’est comme ça que je m’entretiens
Avec la solitude, la plénitude du quotidien
Je veille à c’que mon verre reste à moitié plein
Ouvrir, un nouveau livre
Le poser pour s’endormir
J’ai essayé d’le lire
Mais je ferai ça demain
Le temps passe et passe
Les feuilles mortes tapissent l’espace
Mes rêves j’crois qu’ils me glacent
Ma bio sera qu’une préface.
C’est comme ça que je m’appartiens
C’est comme ça que je m’entretiens
Avec la solitude, la plénitude du quotidien
Je veille à c’que mon verre reste à moitié plein
Ouvrir, un nouveau livre
Le poser pour s’endormir
J’ai essayé d’le lire
Mais je f’rai ça demain
Le temps passe et passe
Les feuilles mortes tapissent l’espace
Mes rêves j’crois qu’ils me glacent
Ma bio s’ra qu’une préface.
Le temps passe et passe
Les feuilles mortes tapissent l’espace
Mes rêves j’crois qu’ils me glacent
Ma bio sera qu’une préface.
Mon sort est de ma vie le décor
J’aurais aimé chérir ça comme un trésor
Mais sans soleil comment brille l’or ?
Fermer, un très vieux livre
L’oublier pour mieux guérir
J’ai essayé d’le fuir
Mais je crois qu’ça sert à rien
Le temps passe et passe
Les feuilles mortes tapissent l’espace
Mes rêves j’crois qu’ils me glacent
Ma bio s’ra qu’une préface.
Le temps passe et passe
Les feuilles mortes tapissent l’espace
Mes rêves j’crois qu’ils me glacent
Ma bio sera qu’une préface.
|
||||
4. |
MIRADOR
02:34
|
|||
J’ai toujours cru savoir aimer
qu’un jour je saurais m’adapter
Mais en fin de compte je suis si seule accompagnée de mon tilleul
J’pensais vraiment que j’aurais pu être hyper chill je t’aurais plu
Et imagine nos projets
on pourrait dire qu’tout est parfait
Et alors j’aimerais te dire que j’avais tort de trop douter une fois encore j’aimerais te dire qu’on est d’accord j’étais en haut du mirador
Je t’invite à prendre un café
qu’on mette à plat toutes mes pensées Les larmes montent j’suis paniquée
Je commence à tout mélanger
Pourquoi s’en faire t’as bien raison L’amour mérite pas de questions Mais comment vivre sans précisions Si chaque doute est un poison
Et alors j’aimerais te dire que j’avais tort D’anticiper une fois encore
j’aimerais te dire qu’on est d’accord j’étais en haut du mirador
Pour toi il n’y a aucune logique Sur ce banc on est pathétiques J’bois une dernière tasse érotique Dans notre océan électrique
Je ne serai plus désolée
Invite moi encore Ă danser
Même si tu marches sur mes pieds Un pansement et ça peut marcher
Et alors j’aimerais te dire que j’avais tort
D’avoir peur de t’aimer encore
C’est notre chance d’être raccord
Viens voir la vue du mirador
|
||||
5. |
QUIMEY NEUQUEN
03:04
|
|
||
Sol de los arenales
Regada en sangre del bravo Sayhueque Grito que está volviendo
En tu desbocado potro pehuenche
Del cielo la onda noche
Se oye del viento la serenata
Tu voz la luna prende
En la negra cimba de mi araucana
Aguas que van, quieren volver Aguas que van, quieren volver
RĂo arriba del canto prendido NeuquĂ©n Quimey, Quimey NeuquĂ©n
Sol que se está gastando
En piedras lajas y turbias corrientes BesĂł la sombra india
Que vuelve crecida
De un sueño verde
Ya madura el silencio
Por el agreste vientre de tus bardas Quiere Rayén dormirse
Tiemblan sus entrañas
Enamorada
Aguas que van, quieren volver Aguas que van, quieren volver
RĂo arriba del canto prendido NeuquĂ©n Quimey, Quimey NeuquĂ©n NeuquĂ©n Quimey, Quimey NeuquĂ©n NeuquĂ©n Quimey, Quimey NeuquĂ©n
|
||||
6. |
J'Y VAIS PAS
03:42
|
|
||
Encore un matin comme un autre, pas pire qu’hier pas mieux qu’demain
Les yeux ouverts, ma paupière saute, le soleil se fraie un chemin
Ma gorge me gratte, j’ai trop fumé, j’ai la langue sèche j’ai pas bu d’eau,
Comme chaque matin, je tire un trait, je compte les jours sur mon tableau.
J’prends mon téléphone, plus d’batterie, il a tourné toute la nuit
On est le 3, j’ai 2 messages et y’a un mois j’avais dit oui
Et si j’pouvais, seulement dormir
Que quelqu’un leur dise, que j’peux pas venir
Bon j’y vais pas,
j’y vais plus,
Je sais pas j’verrais demain,
Si j’y vais pas
Si j’y vais plus
Je sais pas dire aux copains Qu’j’y vais pas
Qu’j’y vais plus
Que j’sais pas qu’j’verrais demain
J’étais cette fille qui rigolait qu’on invitait pour boire un coup Toujours partante, toujours ok, on était sur de rentrer saouls.
J’suis cette fille la qu’on invitait qu’on invite moins ou pas du tout
Un peu normal, pas d’intérêt si tu crois que j’men contrefous
J’vous en veux pas, j’suis un fantôme, j’suis là ou j’suis et on me voit pas
Mais c’que j’espère c’est que cette fois, l’invitation j’la refuserais pas.
Mais bon demain, c’est compliqué
Est ce qu’on peut pas, re-décaler ?
Euh, j’l’avais noté dans mon agenda mais ça a été effacé c’est parce que je l’ai changé de téléphone y’a pas longtemps.
Et t’façons puis en ce moment j’suis super fatiguée avec tout c’qui se passe. Et j’arrête pas d’bosser. Mais tu fais quoi vers novembre, ah pas l’année prochaine, celle d’après ?
Bon j’y vais pas,
j’y vais plus,
Je sais pas j’verrais demain,
Si j’y vais pas
Si j’y vais plus
Je sais pas dire aux copains Qu’j’y vais pas
Qu’j’y vais plus
Que j’sais pas qu’j’verrais demain
|
||||
7. |
QUAND LE BATEAU COULERA
04:45
|
|
||
Quand le bateau coulera Que le vent trop soufflera Je sais bien que ça ira Car tu seras encore lĂ
Mais quand le bateau sombrera Et que le vent nous portera
Je sais que tout ira bien
car tu me tendras la main
Et si l'amour est ainsi

je préfère être sur ton dos
 que de devoir en rester là 
 Tout seul à contempler le sol
Quand les voiles nous lâcheront Que les éclairs les bruleront C'est dans la mer en profusion que je jetterais mon hameçon
Et quand les voiles nous lâcheront Que les éclairs me déchireront Que je prendrais mon baluchon blottie au chaud dans ton blouson
Et si l'amour est ainsi

je préfère être sur ton dos
 que de devoir en rester là 
 Tout seul à contempler le sol

Quand la tempĂŞte se calmera Que le vent doux se couchera Que restera-t-il de ta joie
Mon amour ne me quitte pas
Et quand la tempĂŞte se calmera Que le vent plus trop soufflera Que l'Ă©pave au loin flottera Restera t il un toi et moi ?
Refrain bis
|
||||
8. |
GREENFIELDS
02:42
|
|
||
Once there were green fields, kissed by the sun.
Once there were valleys, where rivers used to run.
Once there were blue skies, with white clouds high above. Once they were part of an everlasting love.
We were the lovers who strolled through green fields. Green fields are gone now, parched by the sun.
Gone from the valleys, where rivers used to run.
Gone with the cold wind, that swept into my heart.
Gone with the lovers, who let their dreams depart.
Where are the green fields, that we used to roam ?
I'll never know what, made you run away.
How can I keep searching when dark clouds hide the day. I only know there's, nothing here for me.
Nothing in this wide world, left for me to see.
Still I'll keep on waiting, until you return.
I'll keep on waiting, until the day you learn.
You can't be happy, while your heart's on the roam,
You can't be happy until you bring it home.
Home to the green fields, and me once again.
|
Streaming and Download help
If you like LES MOTS, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp